Aujourd’hui, nous allons aborder les nombres entiers par l’intermédiaire d’une séance d’application pour travailler les compétences « lire et écrire des nombres entiers » et « connaître la valeur positionnelle des chiffres. Pour te remémorer la leçon, je te conseille de la relire ici !
Dans un premier temps, on lira avec le groupe classe le petit résumé situé sur le haut de la fiche. On entamera ensuite les exercices d’application qui seront travaillés individuellement puis corrigés collectivement. La compétence travaillée est de lire et écrire des nombres entiers.
Lire et écrire des nombres entiers
Les deux premiers exercices permettent de travailler cette compétence. Le premier a pour objectif d’écrire les nombres entiers en lettres tandis que le second a pour objet d’écrire les nombres entiers en chiffres.
Connaître la valeur positionnelle des chiffres
Le troisième exercice permet d’approfondir la notion de chiffre de … (valeur positionnelle d’un chiffre). Le dernier exercice permet de façon ludique de retravailler cette compétence.
Voici la fiche d’exercice d’application : lire et écrire des nombres entiers

Correction de la fiche d’exercice d’application : lire et écrire des nombres entiers
Vidéo de la correction / Lire et écrire des nombres entiers : clique ici !
Exercice 1 : lire et écrire les nombres entiers
Il est particulièrement essentiel de bien comprendre et d’utiliser avec précision les traits d’union dans la langue française, car ils jouent un rôle fondamental dans la clarté et la cohérence de l’écriture des nombres. En effet, le trait d’union relie les différents éléments d’un nombre pour former une unité logique et grammaticale, ce qui permet d’éviter les erreurs de lecture ou d’interprétation. Ainsi, il est nécessaire de placer un trait d’union entre tous les mots qui composent un nombre inférieur à un million, comme dans « quatre-vingt-trois » ou « deux-cent-quinze » pour lire et écrire des nombres entiers.
Exercice 2 : lire et écrire les nombres entiers
Par ailleurs, il faut se souvenir que le mot mille est invariable, c’est-à-dire qu’il ne prend jamais de marque du pluriel, même lorsqu’il est multiplié. À l’inverse, les mots cent et vingt s’accordent au pluriel uniquement lorsqu’ils sont multipliés et situés en fin de nombre, comme dans « quatre-cents » ou « trois-vingts ». Dans tous les autres cas, ils demeurent invariables. Enfin, il convient de prêter une attention particulière aux lettres muettes, souvent sources d’erreurs à l’écrit, car elles peuvent modifier subtilement le sens ou la justesse orthographique d’un mot.
Exercice 3 – 4
Dans un nombre entier, chaque chiffre occupe une place précise qui détermine sa valeur. Le chiffre situé tout à droite est appelé le chiffre des unités : c’est lui qui représente les éléments isolés, ceux que l’on ne peut plus regrouper en dizaines. Juste à sa gauche se trouve le chiffre des dizaines, qui indique combien de groupes de dix contiennent le nombre. En poursuivant encore vers la gauche, on rencontre le chiffre des centaines, qui représente les groupes de cent. Cette organisation, appelée valeur de position, est essentielle pour bien comprendre la structure des nombres et éviter les confusions lors de leur lecture ou de leur écriture.
Le chiffre des unités de mille est également facile à identifier, car il est séparé des autres par un espace qui marque la frontière entre la classe des milliers et celle des unités. Cet espace visuel aide à lire les nombres plus rapidement et à repérer d’un coup d’œil les différentes classes. Dans l’exercice d’aujourd’hui, nous travaillons uniquement sur des nombres inférieurs à 10 000, ce qui signifie qu’ils sont composés d’un maximum de quatre chiffres. Ainsi, le nombre le plus grand que nous pouvons rencontrer est 9 999, et chacun de ses chiffres correspond à une position précise : unités, dizaines, centaines et unités de mille.